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La mobilité, oui, mais pas "par la bande" !

Nathalie Hardyn
Posté le 20/05/2020
Opinions

L’activité économique doit-elle forcément aller de pair avec les bouchons ? La CCIG pense que non, l’encombrement routier n’est pas une fatalité. Le télétravail ou le lissage des horaires, pour les activités où ces mesures sont envisageables peuvent contribuer à alléger la charge de trafic, sans constituer la panacée. Et la crise que nous venons de traverser a certainement donné des idées à plus d’une entreprise en la matière.

Il faut toutefois se rappeler que le déplacement en véhicule motorisé relève dans la majorité des cas d’une nécessité absolue pour les entreprises. Il n’y a qu’à penser aux dépanneurs, aux livreurs et, tout simplement, aux employés qui, en raison de leurs horaires de travail ou de leur lieu de domicile, ne peuvent pas recourir aux transports publics ou autres modes de déplacement doux. Et c’est plus vrai encore alors que la population est enjointe à respecter la fameuse distance sociale de 2 mètres !

La création de nouvelles pistes cyclables a sans aucun doute sa place dans l’arsenal de la mobilité urbaine. Mais les aménagements décrétés par le Conseil d’Etat et la Ville de Genève manquent totalement de proportionnalité. En supprimant des voies de circulation automobile sur des axes majeurs, ils n’avaient aucune chance de réussir … sauf à créer des bouchons là où il n’y aurait pas dû en avoir.

Un minimum de concertation avec les associations économiques et les représentants de la mobilité individuelle aurait sans aucun doute pu éviter cela.

Alors que notre pays, voire une part substantielle de la planète, plonge dans une crise économique jamais vue (du moins pour ceux nés après-guerre), ces aménagements compliquent encore les activités des entreprises et de leurs collaborateurs, alors que nombre d’entre elles essaient déjà de se relever du coup de massue que leur a asséné la pandémie. Le timing de ces aménagements provisoires est pour le moins malheureux.

Pourtant acquise à la cause de la mobilité douce, la CCIG ne peut que déplorer le manque de réelle vision et de planification qui a présidé à cette décsion. Elle s’insurge contre des mesures que les autorités ont prises sans aucune concertation. Elle l’a d’ailleurs exprimé dans un communiqué de presse en fin de semaine dernière.

16 commentaires

patrick cramer
Posté le 20/05/2020
Ce ne sont pas des pistes cyclables mais des voies d'autoroute qui ne créent que des bouchons. Les cyclistes, eux, non seulement nous bousculent sur les trottoirs mais, de plus en plus, se prennent pour les rois des routes. Monsieur Dal Busco a des chances d'être réélu grâce .... à la gauche, ses nouveaux amis mais pas par la droite.
Ariane Slinger
Posté le 20/05/2020
Magnifiquement bien dit ! Quelle idée d'aller dépenser nos impots pour bloquer toute la ville au moment du déconfinement. La reprise est déjà bien compliquée pour nous tous alors comment peut on se permettre de nous faire une telle surprise de taille sans concerter les acteurs du tissu économique genevois. De plus actuellement une grande partie des employés est encore au télétravail, imaginez vous la catastrophe une fois que tous serons rappelés dans leurs bureaux!
ROCHAT GILBERT
Posté le 20/05/2020
Cher Vincent Parfaite réaction . Il faut favoriser une pétition à grande échelle. Cette dictature d État que dis je d une large minorité à travers L État n est pas saine . Les élus par ce genre de décisions cherchent déjà à se placer dans les bons papiers justement de ces sectaires. Il ne faut pas avoir peur d engager le débat démocratique . Cordialement . Gilbert . Miremont Partners .
Stéphan Leterrier
Posté le 20/05/2020
En tant que vaudois, je me déplace en dehors des heures de pointe pour ne par surcharger les voies routières. Ce matin, j’ai pu observer une de ces nouvelles pistes, que dis-je, autoroute cyclable, le long du quai Wilson. Quelle mouche, ou quel virus a piqué les autorités genevoises, pour installer cette large voie au détriment des voitures, sur un axe stratégique déjà très saturé, alors que du côté lac elles auraient pu aménager, en double sens, la piste cyclable qui s’y trouve. Je précise que je suis un adepte du vélo de ville et de course, je suis donc partisan des pistes cyclables "intelligentes".
Alain Berger
Posté le 20/05/2020
Les personnes âgées de 65 ans et plus sont à risque Covid-19 ce qui a pour conséquence qu' elles doivent éviter les transports publics.Or on ne saurait exiger d'elles qu' elles se mettent soudainement à la bicyclette...Ces mesures de ralentissement intentionnel pénalisent ainsi particulièrement les 65 ans et plus dont la libre circulation est entravée et le confinement forcé.
Patrick Lehner
Posté le 20/05/2020
Les vélos et deux roues ne respectent déjà pas les feux de circulation, ils cognent les véhicules et prennent la fuite (il m'en reste une trace sur mon capot), la ville de Genève enlève des places de parking payantes pour les offrir aux deux roues; ceux-ci vous font des queues de poisson en permanence en roulant et lorsqu'ils arrivent aux feux ou lorsqu'ils démarrent avec des doigts d'honneur lorsque vous klaxonnez. Et maintenant, il prennent toute la place sur des voies de circulation majeures grâce à des décisions unilatérales d'idéologues en mal de pouvoir. Je donne des cours tous les lundis à La Tour-de-Peilz, inaccessible en transports publics sauf à passer 4 heures dans les transports en commun. Pour donner 3 heures de cours, c'est motivant. A partir de septembre, je vais démissionner, car cela devient trop contraignant. Je perdrais de l'argent, certes. Mais je ne paierai plus d'impôts non plus ni à la ville, ni au canton de Genève. Voilà le résultat de choix idéologiques insensés qui démontrent le peu d'intelligence de ceux qui prennent des décisions dans ce canton. Il y a 38 ans, on m'a dit que Genève était une république bananière, vous en avez la preuve désormais.
Pascal Vellas
Posté le 21/05/2020
Il n'y a pas lieu d'opposer vélos et autres types de mobilité. Chaque vélo en plus (ou chaque piéton) et chaque voiture en moins est un bénéfice pour la santé de tout le monde, cycliste ou non. En décourageant les déplacements motorisés inutiles, car il y en a encore beaucoup trop, on favorise la fluidité de la circulation... Si tous les automobilistes trouvaient d'autres solutions pour leurs déplacement en centre ville de moins de 5 km, il n'y aurait pas d'embouteillages, c'est pourtant simple à comprendre. Dès lors cette crise sanitaire, si elle permet d'accélérer les aménagements pour la mobilité douce, pour le bienfait de tout le monde, est une chance historique pour bousculer ses mauvaises habitudes, et se remettre en question quand on prend sa voiture inutilement. Un centre ville sans voitures, mais avec des voies réservées aux piétons, aux cyclistes, aux taxis, aux livreurs, et aux personnes qui ne peuvent pas faire autrement, et donc avec aucun bouchon, n'est pas un cauchemar, mais un joli rêve, non ? Quand aux éternels râleurs qui ne voient chez les cyclistes que des brûleurs de feux rouges, testez la mobilité à vélo, et vous verrez que les cyclistes sont rarement dangereux pour les autres (mais il y a des aussi des cyclistes peu respectueux c'est vrai), par contre ils sont mis en danger en permanence par des aménagements trop étroits et mal conçus. Tous les jours on doit slalomer sur les pistes cyclables pour éviter voitures, scooters, et même... piétons rivés sur leurs téléphones portables. Mais inutile de braquer les uns contre les autres : tout le monde à intérêt à favoriser une mobilité non motorisée, c'est une évidence... Signé : un cycliste qui a abandonné sa voiture depuis plus de 15 ans pour aller travailler au centre-ville...
Emanuele Gennai
Posté le 22/05/2020
Après plus d'un siècle, lors duquel l'automobila a pris, de gré ou de force, l'entier de l'espace urbain, laissant à la mobilité douce quelques maigres trottoirs et anémiques pistes cyclables, je crois qu'il est tout simplement urgent d'inverser la vapeur. Je félicite nos autorités d'avoir eu la témérité de réaliser ces aménagements. J'espère qu'elles auront le soutien des citoyens de bonne volonté, qu'ils soient de gauche ou de droite. Nous sommes nombreux à croire que la circulation motorisée ne doit plus être subie, qu'elle n'est pas une fatalité. Alors, cher.e.s ami.e.s de la CCIG, à vos bicyclettes, merci!
Bernadette Muller
Posté le 22/05/2020
Bien dit, la CCIG et les autres rédacteurs de ce "blog" sauf M. VELLAS. Sauf erreur de ma part, le choix du mode de déplacement est constitutionnel. Quelques uns ont une mémoire très sélective. Vu l'enfer du COVID pour toutes les entreprises, c'était bien le pire moment pour mettre en place ces autoroutes à vélos. Et on ne cite pas la méthode "courageuse !" pour leurs mises en place, bel exemple d'intégrité. Le Canton fait de gros efforts, déjà, pour la mobilité douce dans une ville absolument pas aménageable dans ce sens. Voir la voie verte entre Chêne Bourg et les Eaux-Vives où les cyclistes déboulent sur les voies de circulation sans rien regarder en se croyant une fois de plus prioritaire et en oubliant même leur intérêt vital. Ces voies vertes qui devraient s'étendre à d'autres parties du canton, ce qui est une bonne chose somme toute puisqu'on ne les aura plus dans nos roues. Ces mêmes cyclistes qui bénéficient d'une "slow up" une fois par mois aux frais du citoyen puisqu'il faut les encadrer par la police tant ils sont agressifs et se croient à l'abri de toutes lois, police payée par nos impôts. Sans compter le pont parallèle à celui du mont-blanc dont j'oublie le nom qui ne sert pas à grand chose et qui pourra facilement leur être attribué. Mais point trop n'en faut. Ca suffit largement. D'autant qu'ils n'ont absolument aucun respect pour les automobilistes qui ont aussi le droit d'utiliser le domaine public, qui paient largement tout de sorte d'impôts pour cela, impôts qui permettent de leur financer leur "autoroutes à vélos" et autres installations du genre. On verra ce que ce Monsieur fera quand il devra aller chercher un énorme colis dans un commerce, il commandera certainement un "transporteur"...ou quand il aura eu un souci de santé qui ne lui permettra plus de rouler à 2 roues, ou pire et là il peut être sûr que ça va lui arriver, quand il sera vieux, etc... il prendra sans doute le taxi...ou se fera véhiculer par un ami qui a une voiture… d'ailleurs il a peut-être la chance de faire du "télétravail"...Alors de grâce, revenons sur terre, ce qui aurait pourtant dû être le cas de l'après COVID. Il semble pourtant que cet avertissement de la vie n'ait décidemment pas servi à grand chose sur l'égoïsme de certains.
Sebastiano Portunato
Posté le 24/05/2020
Je ne suis pas un expert de mobilité, donc inutile de ma part de faire des propositions mais plutôt j’aimerais poser des questions en espérant que des experts puissent donner des réponses avec du bon sens. Selon des statistiques, la ville de Genève est sacrée capitale suisse du bouchon routier et elle est dans une position remarquable en Europe : personne, je croix, ne peut contester la « complexité » de la circulation à Genève. Depuis mon arrivé en Suisse début des années 80, dans la région Genève - Vaud - Valais il y a eu une augmentation de la population (résidents et non) et une croissance de l’activité économique qui ont eu comme conséquence une hausse importante du trafic motorisé qui, malheureusement, n’a pas été suivi par le développement de l’infrastructure. Un projet coordonné par les 3 Cantons, n’est-il pas une nécessité/obligation prioritaire ? Sans une concertation des acteurs un compromis raisonnable et efficace ne sera jamais atteint. Les décisions souvent précipitées et généralement sans concertation des administrations publiques, sont-elles le moyen le plus efficace pour résoudre un problème d’une telle complexité ? A ce propos, je ne m’aventurerai pas dans la diatribe de la traversé de la rade, ayant un âge qui ne me permettra pas de voir le projet réalisé, si jamais. Le nombre de voitures qui circulent reste à un niveau très élevé par rapport au réseau routier existant. Tous les moyens possibles ont été mis en place afin d’essayer de réduire la circulation. Depuis des années il y a eu un important effort des administrations pour améliorer le réseau des transports publics avec des très bons résultats dans le centre-ville mais mitigé dans les autres régions périphériques. En même temps on a réduit la vitesse de circulation, le nombre des places de parking, le nombre de voies de circulation et augmenté les zones piétonnes : est-ce que ces mesures peuvent être considérées efficaces et suffisantes ? Avec une approche écologique, qui encore plus aujourd’hui, doit être considérée une urgente priorité on cherche de transformer la vision du 20eme siècle dans celle du 21eme avec beaucoup d’espoir mais pas des certitudes, avec des problématiques techniques et économiques. Dans ce sens, le vélo (même électrique) semble être une découverte. Si ceci est une solution partageable, mais est-ce qu’il y a eu une vraie réflexion à niveau administratif et public pour évaluer avantages et désavantages afin de définir un vrai plan d’action ? A première vue et peut-être liée à une vision du passé, le vélo semble avoir des limitations qui l’empêcherait de prendre une place significative du trafic motorisé : limitations dues à l’âge du conducteur, au volume et poids des choses à transporter, aux conditions météorologiques, aux distances à parcourir, à certains domaines professionnels, à une licite crainte du trafic motorisé. Est-ce que l’utilisation du vélo est suffisamment répandue, à l’exclusion du loisir, pour justifier certaines récentes décisions d’augmenter les espaces pour les vélos au détriment des ceux pour les voitures ? En tant que conducteur de voiture, j’ai remarqué, et je ne suis pas le seul, qu’il y a un certain manque « d’éducation » de la part des cyclistes : passage aux feux rouges, conduite en sens interdit, traversement sur les passage piétons, utilisation des trottoirs, absence de lumière (la nuit, souvent habillé en noir, en dehors de zones illuminées). Est-ce qu’un « code de conduite » ne devrait pas faire partie des obligations pour pouvoir circuler ensemble avec les autres acteurs ? Beaucoup de questions qui laissent les citoyens sans une bonne compréhension des décisions des autorités et qui les poussent à prendre souvent des positions extrêmes, jusqu’à se rassembler pendant le confinement. Est-ce qu’une décision complexe et difficile pourra se faire sans des finalités souvent seulement politiques ? Il y a de quoi rêver…
Emanuele Gennai
Posté le 25/05/2020
Le pont parallèle dont vous ne vous souvenez du nom? Il s'agit du Pont des Bergues, chère Bernadette, reconstruit en 1888, qui tient son nom d'un commerçant allemand nommé Kleberger qui avait pignon sur pont, si j'ose dire. Ce pont est réservé à la mobilité douce depuis 1982, ce qui avait provoqué une levée de boucliers à l'époque! Qui aujourd'hui voudrait revenir au status quo ante? Je ne puis que vous conseiller une balade à bicyclette, sur la voie verte par exemple. Une balade qui aurait comme vertu de vous concilier avec la mobilité douce et, sans nul doute, vous rendre le sourire :-). C'est avec plaisir que je vous accompagnerai!
Cécile Rey
Posté le 25/05/2020
Les commentaires dans le GHI de M. Vincent Subilia, Député PLR et Directeur Général de la Chambre de Commerce (CCIG) sont tout à fait justifiés & pertinents; les conducteurs sont pris en otages et les mesures de restrictions de circulation actuelles sont totalement inadaptées par rapport au contexte que nous vivons Elles ajoutent de la pollution, ne favorisent pas la reprise des activités commerciales au Centre qui ressemble de plus en plus à zone désertée Qui va ou ira au faire son shopping au Centre en vélo ?
Emanuele Gennai
Posté le 26/05/2020
Qui va faire son shopping au centre à vélo? Moi, chère Cécile, soit pour y faire mes courses (je ne suis pas adepte du tout-à-domicile et préfère rencontrer les commerçants), soit pour me rendre au théâtre, au cinéma, au restaurant, soit pour y rencontrer des amis... C'est vraiment rapide, pratique, ludique, relaxant (quand on ne subit pas d'invectives klaxonnées), et durable. Qui ira? Vous, chère Cécile, du moins je l'espère. La Petite Reine? L'essayer, c'est l'adopter! Quant aux questions de trafic et de pollution (sonore, par le CO2 ou les particules...), je nous renvoie au commentaire plein de bon sens de Pascal Vellas, plus haut. Je vous donne raison sur un point: les chauffeurs sont bien pris en otage, avec leurs passagers! Mais pas par qui l'on croit. Ils sont pris en otage par leurs propres habitudes. Ils sont prisonniers de leur véhicule. Ils sont soumis à leur propre addiction.
Denis Ducret
Posté le 26/05/2020
Aujourd’hui la rue du XXXI décembre a été mise en sens unique de manière aberrante et sans aucun préavis. Comment obtenir la liste des changements effectués et ceux qui sont planifiés ? Allez-vous lancer une pétition contre cette opération ?
Jean-Paul Vulliéty
Posté le 29/05/2020
Lors de la prestation de serment des exécutifs communaux, le 27 mai, M. Apothéloz, Conseiller d'Etat, a notamment rappelé aux nouveaux élus qu il n’y a pas "de petites ou de grandes politiques, toutes les préoccupations, tous les intérêts des habitants de ce canton sont légitimes». C'est juste. Il est dès lors regrettable que cette règle fondamentale d'un bonne démocratie n'ait pas également été appliquée et respectée par les autorités lors de la mise en place - apparemment en catimini, dans l'ombre protectrice des derniers jours déserts du confinement - de ces mesures de circulation que de nombreux habitants de la région dénoncent actuellement parce qu'ils estiment qu'elles sont contraires à leurs intérêts et ne tiennent pas suffisamment compte de leurs préoccupations. Habitant et travaillant en ville, je suis a priori un piéton (parfois cycliste), dont les préoccupations et intérêts sont dès lors ailleurs. Ma présente réflexion ne porte donc pas sur le fond, encore que je ne sois pas sûr que ces mesures résoudront quoi que ce soit. Le trafic automobile ne diminuera vraisemblablement pas beaucoup mais se déportera ailleurs, sur d'autres quartiers qui en subiront les nuisances. Ce qui me préoccupe dans cette affaire, c'est la suspicion très désagréable de hold-up démocratique et de mépris social de la part des autorités. D'où mon rappel ci-dessus de la règle précieuse évoquée par M. Apothéloz. Car il paraît évident que ces mesures ont été sciemment mises en oeuvre au mépris des intérêts contraires d'une large partie de la population (non nécessairement privilégiée) de la région du "grand Genève", pour laquelle, en raison de la structure de l'habitat, des horaires, des distances et des contraintes (notamment familiales), la voiture privée est souvent la seule solution logistique réaliste dans leur mode de vie. Je ne parle pas ici de l'illuminé-e qui prend sa voiture seul-e pour faire 500 mètres pour aller au fitness, on est bien d'accord...
Martin Diener
Posté le 03/06/2020
Si dans le passé on n'avait pas fait d'effort et si on ne continuait pas à en faire pour le ferroviaire, on ne circulerait plus sur nos routes. Même chose pour les piste cyclable & les vélos !

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